< Vignettes | < Précédente | Suivante > |
|
||
Sarah Anne Johnson décrit son monde de planteurs d’arbres comme étant ce qui se rapproche le plus de l’utopie. Ses images sont tirées à la fois du monde « réel » et de scènes qu’elle a créées pour l’objectif. Pour certaines photographies, Johnson sculpte des figures et les situe dans des dioramas, une façon de reconstruire les souvenirs qu’elle a conservés d’une expérience. D’autres photographies à caractère plus documentaire dégagent un sentiment de sublimité, tout en évoquant le labeur physique ardu, la dynamique d’une communauté étroitement liée de planteurs d’arbres et des expériences de la nature qui restituent non seulement sa beauté, mais aussi la présence des mouches noires, des moustiques, de la boue, de la pluie et de la chaleur. |